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« Avec une formation inadaptée et sans armement, nous envoyons les Maliens à la mort » affirme l’eurodéputé Javier Nart

Posted On 25 Mai 2016
By : MalicomAdmin
Comment: 1
Tag: EUTM Mali, GTIA, Mali

Javier Nart a été témoin de nombreux conflits en Afrique, et spécialement au Sahara.


Interviewé  par le magasine Bruxelles 2 dans sa parution du 16 mai  l’eurodéputé Javier Nart  ne mâche pas ses mots à propos de l’EUTM Mali et des bataillons (GTIA) formés.

Journaliste de guerre aguerri, Javier Nart a été témoin de nombreux conflits en Afrique, et spécialement au Sahara. Il a traversé ce désert plusieurs fois. Tantôt avec les Touaregs, mais aussi avec plusieurs armées européennes. Comme il le dit lui-même, il « connaît le modèle opératoire des conflits d’un extrême à l’autre de l’Afrique : depuis la Mauritanie jusqu’au Soudan du Sud ». C’est donc naturellement que ce député espagnol (Ciudadanos/ALDE) suit en détail l’évolution de la mission européenne de formation de l’armée malienne. Sa dernière visite sur le terrain date de janvier 2015. Mais il dresse un bilan très critique de la mission. Entretien (*)

Suite à votre visite sur le terrain en janvier 2015, vous avez rédigé un rapport très critique avec la mission ?

Mon rapport n’est pas simplement critique, il est « terriblement » critique. Il met en évidence la réalité. Il y a deux grandes erreurs. D’abord, on entraîne des bataillons tactiques inter-armes (GTIA). Mais un bataillon est une unité ridicule, d’à peine 600 hommes. Le mandat ne nous dit pas d’entrainer des unités de chocs hyper héroïques mais une armée. Deuxièmement, pour entrainer une armée dans une situation de guerre, la logique voudrait que cette armée soit utile et capable de combattre en situation de guerre. Après deux ans d’entrainement, nous avons été incapables de créer des bataillons opérationnels. Chaque fois que l’armée malienne est intervenue dans le Nord du pays depuis 2013, ce sont les GTIA qui sont intervenus. Et ils ont été annihilés. Les plus intelligents ont simplement couru comme des fous, alors même que l’armée est le plus souvent en supériorité numérique.

Quelle est l’explication selon vous?

Il y en a deux. Ces GTIA sont composés de personnes venant du sud du pays, des « Mambara » ou « Toucouleurs ». Il n’y a pas eu foule de volontaires quand les djihadistes ont attaqué en

2013, ni quand il a fallu constituer nos fameux bataillons. Ce sont des agriculteurs. Et ils ne vont pas risquer leur vie pour un tas de sable ou pour une entité politique appelée ‘Mali’, totalement artificielle, héritée du colonialisme.

Et la deuxième?

L’armée de Mali est marquée par une caractéristique néfaste. La relation entre les officiers et la troupe n’existe pas. Les officiers dirigent leurs hommes depuis 200 mètres, 300 ou même 500 mètres en arrière. Et les troupes se retrouvent seules au combat. Comme correspondant de guerre, je peut vous dire que les gens ne meurent pas pour un drapeau, pour un concept de patrie ou nation, ni même pour une révolution. ils luttent pour et avec les hommes qui les dirigent. Si ces officiers sont absents, il est normal que les soldats fuient.

La formation donnée au camp de Koulikoro n’est donc pas adaptée ?

Ce qui se passe à Koulikoro est pathétique. Il faut fournir une formation offensive aux bataillons et les armer. Depuis son lancement, EUTM Mali donne un entrainement qui est défensif. C’est une décision stupide, je dirais même criminelle. Puisqu’on envoie ces pauvres Maliens à la mort. N’importe qui sait que, dans le désert, il est impossible de mener une opération défensive parce qu’il faut se défendre en profondeur. C’est moralement indécent.

A vous écouter, les efforts déployés par l’UE sont peu efficaces. Y a-t-il une erreur de conception de la mission ?

C’est plus grave que cela. Dans l’Union européenne, nous sommes des gens géniaux. Nous partons de l’idée que la guerre est une chose de mauvaise éducation et qu’on ne peut pas tuer, même dans une guerre. Face à l’ennemi, on investit en éducation pour créer de meilleures conditions sociologiques et éviter les avancées du terrorisme. Il faut plus de sens commun et arrêter les conneries. Si on est en guerre, il faut aller à la guerre, la gagner… Et, après, on pourra parler de créer une plateforme pour une éducation inclusive.

EUTM Mali a tenté de mettre en pied une cellule « projet » pour mieux armer les Maliens. Vous êtes partisan d’armer les armées africaines…

Théoriquement, c’est au gouvernement malien de fournir ces armes. Au Mali, il y a bien des armes. Ne nous trompons pas. Mais ce sont les généraux et les colonels qui les ont. Pas le gouvernement. Et quand on demande 40 RPG7 avec 20 munitions pour chaque personne pour la formation au camp de Koulikoro,… ces armes n’arrivent pas. Le résultat est que la formation qu’on donne aux soldats maliens est purement théorique avec, pour seul appui, le livre technique de l’arme. Comment peut-on entrainer ainsi des hommes sur une 14,5, une 23 mm, une 2,7 mm ou à l’utilisation de mortiers de 81, de 60 et ne parlons pas de mortier de 120 mm.

C’est donc aux Européens de les armer ?

Bien sûr qu’il faut les armer. On leur donne des casques, des gilets pare-balles, des matelas, des tentes, des véhicules non armées. Pour les armes, par contre, que d’autres s’en chargent. C’est un non sens.

Il y a des risques. Ce matériel pourrait être détourné ? Quelle est la limite selon vous ?

Il y a un risque que le matériel finisse en de mauvaises mains… Oui. Mais il faut prendre ce risque. Je suis assez excédé, dans cette enceinte, de me réunir avec des personnages « exquis » qui refusent tout, dès que le mot « militaire » y est mentionné. Si on veut arrêter des massacres comme ceux du Darfour, il faudra bien finir par intervenir en force. Tant qu’on ne fournira pas le matériel, ce qui se passe c’est la continuation du massacre. Et cela, les « glorieux » députés qui disent que l’Union européenne ne peut pas fournir du matériel offensif, ne le comprennent pas.

La fonction « conseil » de la mission est-elle plus efficace, selon vous ?

Il y a beaucoup de choses à faire au Mali. Il faut reconstruire l’Etat de fond en comble. Mais on ne peut reformuler son administration. C’est un pays souverain. On ne peut que donner de beaux conseils à des gens dont le but est le maintien du pouvoir. Les conseils que nous leur donnons ne servent absolument à rien. Les Maliens écoutent. Ils sont aimables… Mais ne prêtent pas plus d’attention. La fonction Conseil d’EUTM Mali est particulièrement inadaptée car nous ne sommes pas sur le terrain. Comment peut-on penser à les conseiller quand on ne connait pas de première main la réalité pour laquelle ils doivent se préparer ? Et ça, seule l’armée française le fait.

Vos critiques sont très fortes. D’où tirez-vous vos informations?

Quand on parle avec les militaires européens à Bamako ou Koulikoro, et que les étiquettes d’eurodéputés et les étoiles de général tombent, ce qu’on trouve c’est une profonde humiliation et frustration. Etant de très bons professionnels et en ayant un intérêt énorme pour faire bien les choses, ils sont castrés « politiquement », par des décisions politiques qui leur interdisent de donner un entrainement adéquat en opérations offensives.

Cependant, EUTM Mali est présentée comme le succès de la PSDC et le modèle à suivre pour les futures missions, par exemple en Centrafrique ?

C’est absurde. Face à cela il n’y a qu’une chose chose à faire. Les eurodéputés qui pensent cela doivent aller sur le terrain avec un des GTIA maliens formé par EUTM Mali. Et qu’ils nous disent ce qu’ils apprennent. Moi, je tiens à la vie et j’irais avec les Français. Et cela est vrai pour toutes les régions desquelles nous parlons au Parlement européen. Tous les députés devraient aller voir les conflits et non pas juste traverser les camps de réfugiés, en vitesse, et sous protection.

Vous semblez plus confiants dans les capacités françaises ?

Leur présence est très positive. Ce sont les seuls qui sont en train de faire quelque chose. C’est scandaleux de les laisser seuls. L’Espagne, Italie l’Allemagne, et l’Europe doivent agir comme Européens. Car le Sahel est un problème européen. Ce n’est pas un problème français et impérial.

Au Mali, il n’y a pas qu’EUTM Mali. Le bilan est-il meilleur pour les autres missions internationales ?

En arrivant à Bamako, on est scandalisé. L’hôtel le plus important est le centre d’opération de toutes les missions internationales dans le pays. Ce sont des milliers de bureaucrates, pour quelque chose qui ne requiert pas un tel appareil des Nations Unies, ni de l’Union européenne. Ceux qui se rendent au Mali savent de quoi je parle. Les résultats ne peuvent pas être positifs.

Vous attendez des Européens qu’ils s’investissent davantage dans la région ?

Oui. Il va bien falloir qu’ils le fassent ! Nous avons un conflit de première magnitude au Sahel. Non seulement la bande sahélo-sahélienne est une zone énorme d’instabilité. Mais il faut aussi regarder plus au nord, vers l’Algérie et le Maroc. Ces pays peuvent exploser à tout moment. La paix et la sécurité étaient autrefois garanties par les Touaregs. Aujourd’hui, c’est une zone sans contrôle. Il est fondamental de stabiliser la région. Pour cela, il faut être sur le terrain. Cela suppose un risque. Il faut le prendre. Il ne s’agit pas d’envoyer 100.000 soldats tout de même. Je ne sais pas comment, mais l’Europe va devoir comprendre cela et se bouger. Une possibilité est de changer les normes actuelles de l’UE, qui limitent toute action de type militaire.

Ce devrait être inclus dans la nouvelle Stratégie globale qui sera présentée en juin par la Haute représentante de l’UE. Qu’en attendez vous ?

Rien. Ce sera une merveilleuse marée de rhétorique. Un océan de rhétorique, de belles paroles, d’intentions merveilleuses et toutes correctes… mais n’apportant aucune réponse pratique effective.

(Propos recueillis par Leonor Hubaut à Bruxelles)

(*) Interview réalisée en face à face le 27 avril

« Il y a deux grandes erreurs. D’abord, on entraîne des bataillons tactiques inter-armes (GTIA). Mais un bataillon est une unité ridicule, d’à peine 600 hommes. Le mandat ne nous dit pas d’entrainer des unités de chocs hyper héroïques mais une armée. Deuxièmement, pour entrainer une armée dans une situation de guerre, la logique voudrait que cette armée soit utile et capable de combattre en situation de guerre. Après deux ans d’entrainement, nous avons été incapables de créer des bataillons opérationnels. Chaque fois que l’armée malienne est intervenue dans le Nord du pays depuis 2013, ce sont les GTIA qui sont intervenus. Et ils ont été annihilés. Les plus intelligents ont simplement couru comme des fous, alors même que l’armée est le plus souvent en supériorité numérique.

[La deuxième erreur] L’armée de Mali est marquée par une caractéristique néfaste. La relation entre les officiers et la troupe n’existe pas. Les officiers dirigent leurs hommes depuis 200 mètres, 300 ou même 500 mètres en arrière. Et les troupes se retrouvent seules au combat. (…) Si ces officiers sont absents, il est normal que les soldats fuient.

Ce qui se passe à Koulikoro est pathétique. Il faut fournir une formation offensive aux bataillons et les armer. Depuis son lancement, EUTM Mali donne un entrainement qui est défensif. C’est une décision stupide, je dirais même criminelle. Puisqu’on envoie ces pauvres Maliens à la mort. N’importe qui sait que, dans le désert, il est impossible de mener une opération défensive parce qu’il faut se défendre en profondeur. C’est moralement indécent.

Au Mali, il y a bien des armes. Ne nous trompons pas. Mais ce sont les généraux et les colonels qui les ont. Pas le gouvernement. Et quand on demande 40 RPG7 avec 20 munitions pour chaque personne pour la formation au camp de Koulikoro,… ces armes n’arrivent pas. Le résultat est que la formation qu’on donne aux soldats maliens est purement théorique avec, pour seul appui, le livre technique de l’arme. Comment peut-on entrainer ainsi des hommes sur une 14,5, une 23 mm, une 2,7 mm ou à l’utilisation de mortiers de 81, de 60 et ne parlons pas de mortier de 120 mm.

Il y a beaucoup de choses à faire au Mali. Il faut reconstruire l’Etat de fond en comble. Mais on ne peut reformuler son administration. C’est un pays souverain. On ne peut que donner de beaux conseils à des gens dont le but est le maintien du pouvoir. Les conseils que nous leur donnons ne servent absolument à rien. Les Maliens écoutent. Ils sont aimables… »

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