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« L’Afrique est en marche », affirme Obama au Kenya

Posted On 25 Juil 2015
By : MalicomAdmin
Comment: 1
Tag: Barack Obama, Kenya

Le président américain Barack Obama, le 25 juillet 2015 à Nairobi afp.com/SAUL LOEB


« L’Afrique est en marche », a affirmé samedi au Kenya le président américain Barack Obama, au premier jour d’une visite sous haute sécurité dans le pays de son père, qui sera l’occasion de parler d’économie mais surtout de lutte antiterroriste.

Le Kenya a été visé ces dernières années par de spectaculaires attaques des islamistes somaliens shebab, et une partie de la capitale Nairobi a été bouclée pour la visite de Barack Obama. Le président américain et son hôte Uhuru Kenyatta ont pourtant adopté un ton résolument optimiste samedi matin en ouvrant ensemble un sommet mondial sur l’entrepreneuriat.

« Je voulais être ici parce que l’Afrique est en marche, l’Afrique est l’une des régions du monde à la plus forte croissance« , a lancé Barack Obama. « Les gens sortent de la pauvreté, les revenus sont en hausse, la classe moyenne croît et les jeunes gens comme vous exploitent les technologies pour changer la façon dont l’Afrique fait des affaires« .

« Ce discours sur le désespoir africain est faux et, en fait, n’a jamais été vrai« , a estimé Uhuru Kenyatta. « Faites savoir que l’Afrique est ouverte et prête pour les affaires« . M. Obama, qui se rend pour la première fois au Kenya depuis son accession à la Maison blanche en 2009, doit s’entretenir avec M. Kenyatta dans l’après-midi, à nouveau d’économie mais surtout de lutte contre l’islamisme radical.

Le Kenya, cibles d’attaques répétées des shebab depuis qu’il a engagé son armée fin 2011 dans le Sud somalien pour les combattre, est un partenaire clé des États-Unis dans la région en matière de sécurité. Les Etats-Unis mènent eux-mêmes de régulières attaques de drone contre les shebab en Somalie, privée de réel État central depuis la chute de l’autocrate Siad Barre en 1991, et ont tué en septembre celui qui était alors le chef des insurgés, Ahmed Abdi Godane.

Les shebab, groupe radical affilié à Al-Qaïda qui recrute aussi au Kenya, ont notamment perpétré la tuerie du centre commercial Westgate à Nairobi en 2013 (au moins 67 morts) et, plus récemment, en avril, le massacre à l’université de Garissa (nord-est) qui a coûté la vie à 148 personnes, dont 142 étudiants.

Avant son entretien bilatéral avec Uhuru Kenyatta, Barack Obama s’est rendu au mémorial érigé en mémoire des victimes de l’attentat perpétré en 1998 par Al-Qaïda contre l’ambassade américaine de Nairobi, qui avait fait 213 morts.

Entouré d’une dizaine de survivants et de sa conseillère à la Sécurité nationale Susan Rice, il a déposé une gerbe devant la liste des victimes avant de s’incliner dans un moment de recueillement.

– Les liens kényans – C’est la première fois qu’un président américain en exercice se rend au Kenya, qui a déployé plus de 10.000 policiers dans la capitale pour assurer sa sécurité.

obamafamille_545x460_autocrop« C’est formidable d’être de retour au Kenya« , a encore déclaré M. Obama samedi. « Je suis fier d’être le premier président américain à venir en visite au Kenya, et évidemment, cela a une valeur personnelle pour moi. Mon père venait du coin« .

←A  Nairobi, Barack Obama a diné vendredi avec Mama Sarah, avec qui le président n’a pas de liens de sang mais qu’il considère comme sa «grand-mère» et sa demi-sœur Auma Obama. AFP.

Au fil des semaines, à mesure que la visite approchait, la ferveur n’a cessé de monter au Kenya. Samedi encore, les principaux quotidiens consacraient leurs unes à M. Obama, né à Hawaï d’une mère américaine et d’un père kényan: « Kenya je suis là« , « Le moment Obama« , « Obama arrive« …

Cette visite a longtemps été empêchée par l’inculpation du président Kenyatta devant la Cour pénale internationale (CPI) pour son rôle présumé dans des violences postélectorales fin 2007-début 2008. Mais ces poursuites ont été abandonnées en décembre, faute de preuves.

Au cours de la visite, les droits des homosexuels devraient également être abordés, bien que le président kényan ait assuré que la question était « un non-sujet » dans son pays et qu’elle ne serait pas officiellement « au programme« .

Dimanche, avant de quitter le Kenya pour l’Ethiopie, deuxième et dernière étape de sa tournée africaine, M. Obama rencontrera encore des membres de la société civile kényane, qui déplorent des restrictions croissantes des libertés dans le pays.

Vendredi soir, le président américain avait dîné avec des membres de sa famille kényane, venus pour l’occasion à Nairobi. Mais il ne devrait pas se rendre dans leur village de l’Ouest kényan, Kogelo, où est enterré son père qu’il n’a « jamais vraiment » connu. Barack Obama Senior, un économiste qui travaillait au Trésor public kényan, avait quitté le foyer familial et les États-Unis lorsque son fils avait 2 ans et demi et est mort en 1982, dans un accident de voiture, à 46 ans.

Source L’EXPRESS

 

Barack Obama et l’Afrique, histoire d’une déception

 Par Jean-Philippe Rémy

barack-obama-entoure_7a37ade3f5fc917f2e30b0e9ff0aa872Ce jour-là, pour son premier discours en terre d’Afrique, Barack Obama avait promis de changer le monde. C’était le 4 juin 2009, au Caire. Le nouveau président américain, portant le nom d’un père kényan, n’était entré en fonction que depuis quelques mois à la Maison Blanche. Il arrivait à présent sur le continent de ses ancêtres pour annoncer un « nouveau départ », en forme de réconciliation entre les Etats-Unis et une partie de la planète. Et il le faisait depuis la grande université Al-Azhar, « phare de l’érudition musulmane », selon ses mots, et orgueil du continent africain.

Certes, il ne s’agissait que d’un discours prononcé en Afrique, et non d’un discours sur l’Afrique. Son objet était de promettre la fin du cycle des guerres de l’Amérique (Irak, Afghanistan, mais aussi Afrique, par ricochet) engagées par son prédécesseur, George W. Bush, tout en tendant la main au vaste « monde de l’islam ».

Mais ce n’est pas seulement à Bagdad qu’on l’avait entendu, et pris au sérieux. A Mogadiscio, en Somalie, par exemple, on suivait chaque phrase en direct, à la télévision, avec un mélange d’étonnement et d’émotion. Il semblait que, ce jour-là, un homme providentiel venait d’offrir plus qu’une pax americana au monde. Comme si le président Obama, en raison de ses origines, était le seul dirigeant de la première puissance mondiale capable de changer les règles du jeu à l’échelle planétaire, et d’instaurer de nouvelles lignes d’entente.

Trop occupé ailleurs

Il y avait tout à coup de la fraternité, au meilleur sens du terme, dans l’air des relations internationales, et cela ne pouvait qu’inclure l’Afrique. A deux reprises, dans sa jeunesse, Barack Obama avait voyagé au Kenya, à la découverte du pays de son père. Il s’y était senti parmi les siens. Son livre Les Rêves de mon père (éd. Presses de la cité, 2008) en témoigne avec précision. Tout y est : la question raciale, l’Afrique, le télescopage des identités et le sentiment de révolte devant les injustices. Tout cela vu par un jeune homme à l’intelligence acérée.

Après son élection, tout un continent a donc commencé à attendre l’auteur de ce livre délicat et déchirant. En fait, il n’est jamais venu. Certes, le président Obama est revenu en Afrique. La première fois, c’était quelques mois seulement après le discours du Caire, déjà oublié. Une escale d’à peine vingt-quatre heures au Ghana. Eloquent, toujours, Barack Obama y affirmait, devant le Parlement : « Je ne vois pas les pays et les peuples d’Afrique comme des mondes lointains. Je vois l’Afrique comme partie fondamentale de notre monde interconnecté, comme un partenaire de l’Amérique dans la perspective du monde que nous voulons pour nos enfants. » Après cette envolée : rien. Il avait fallu plus de trois ans pour que la Maison Blanche publie enfin une stratégie des Etats-Unis vis-à-vis de l’Afrique subsaharienne. Elle reposait sur quatre axes d’une parfaite banalité : développement, processus de paix, démocratie, santé.

Or, en 2009, la Chine venait aussi de dépasser les Etats-Unis dans le volume de ses échanges avec le continent. Une nouvelle « ruée vers l’Afrique » était en cours, mais les Etats-Unis ne semblaient pas dans la course. Et pendant son premier mandat, le président américain a disparu des radars africains. Trop occupé ailleurs. Il lui fallait faire face à la crise financière mondiale, lancer le désengagement militaire en Irak et en Afghanistan, entre autres… Et surmonter un ouragan de mauvaise foi raciste aux Etats-Unis. Pour éviter d’enflammer un peu plus ce pays impossible, il devait se garder de passer pour un « angry black man » (homme noir en colère), et répéter qu’il n’était pas né au Kenya. Alors, « out of Africa », le président, s’il espérait être réélu.

Cette absence était d’autant plus frappante que les deux présidents américains précédents avaient laissé une marque visible sur le continent. George W. Bush avait présidé à la mise en place d’un gigantesque plan de financement de lutte contre le VIH-sida, controversé par certains aspects, mais qui avait permis de mettre trois millions de personnes sous antirétroviraux. Bill Clinton, encore plus irritant, était devenu l’ami de Nelson Mandela et du président nigérian Olusegun Obasanjo (ils ont le même architecte pour leur bibliothèque). Il avait aussi mis en place l’AGOA (African Growth and Opportunity Act), un système ouvrant sans contrepartie le marché américain à une liste de marchandises en provenance de pays africains. Barack Obama a eu toutes les peines du monde récemment à faire renouveler ce programme : tout un symbole.

« Vous nous achèterez des iPad »

Comme par défaut, la politique américaine engagée par son administration s’est fixée avec le temps deux priorités : les investissements et la sécurité. D’un côté, tentative éperdue de rattraper l’avance chinoise en Afrique. De l’autre, extension d’une guerre secrète ou discrète, menée à coups de drones, de conseillers militaires et d’opérations clandestines. Pour sceller ce drôle de pacte, un sommet géant Etats-Unis-Afrique allait rassembler près de cinquante chefs d’Etat à Washington en août 2014 : il y avait trop de monde, et pas assez de temps pour des entretiens bilatéraux. Cela faisait une belle photo, mais ne créait pas de relations personnelles.

Le « partenariat » annoncé au Ghana est revenu dans les éléments de langage, mais ce n’est plus le germe d’un monde nouveau. Plutôt un business plan. En 2013, lors de son voyage dans trois pays d’Afrique, Barack Obama l’expliquait au campus de Soweto de l’université de Johannesburg, devant une assemblée de jeunes : « Si vous vous développez, c’est bon pour nous. Cela veut dire que vous nous achèterez des iPad. » Dans cet esprit, des initiatives ont été lancées ou poursuivies en 2013 : un grand sommet des affaires de la région, un plan pour l’agriculture, ou encore, Power Africa, dont l’ambition est d’associer le secteur privé pour contribuer à l’électrification du continent. Soixante millions de foyers devraient en bénéficier. Mais le projet peine à obtenir des résultats visibles, et son financement est laborieux.

« Trop peu, trop tard »

L’Ethiopie, où se rend Barack Obama après sa visite au Kenya pour son dernier voyage de président américain en Afrique, est un pays à la croissance impressionnante (plus de 10 % sur une décennie), mais c’est aussi un point d’ancrage du dispositif antiterroriste des Etats-Unis. Est-ce donc cela, le renouveau du lien avec l’Afrique, confinée dans sa fonction de bac à sable pour des opérations « noires » dans la longue guerre des Etats-Unis, ou comme débouché pour ses produits ?

A Addis-Abeba, Barack Obama doit donner des éléments de réponse à cette question, dans un discours qu’il prononcera devant l’Union africaine. La tour qui abrite l’organisation panafricaine a été construite, et offerte, par la Chine. Le président américain s’y verra peut-être offrir sa dernière chance de convaincre un continent que les Etats-Unis le regardent en égal, et pas seulement comme un marché pour les iPad.

« C’est trop peu, trop tard », estime déjà Thomas Kwasi Tieku, de l’université de Western Ontario, auteur d’un livre sur Obama et l’Afrique (US-Africa Relationships in the Age of Obama, Cornell University, non traduit, 2012), à propos de cet ultime voyage africain, en regrettant que le président Obama n’ait « rien fait de plus, fondamentalement, que Bill Clinton et George Bush », avant de conclure : « Peut-être sa performance reflète-t-elle le fait que les présidents américains, comme individus, sont moins puissants que nous avons tendance à le croire. »

LE MONDE

 

 

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