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Le CFA : une monnaie injustement attaquée ?

Posted On 20 Mar 2022
By : Anonyme
Comment: 0
Tag: BCEAO, Cemac, CFA, Franc CFA, UEMOA

Beaucoup de gens se sont exprimés contre le CFA, qu’ils décrivent comme le « prolongement du colonialisme » et réclament à cor et à cri sa disparition, et la mise en place  d’une  » vraie  » monnaie commune pour l’Afrique de l’Ouest.

Les détracteurs du CFA sont dans l’illusion la plus totale s’ils pensent que nos pays vont subitement décoller parce qu’ils vont utiliser une monnaie différente. Jusqu’à présent personne n’est parvenu à montrer comment ne plus utiliser le CFA va conduire nos économies vers plus de prospérité. Va-t-on avoir plus d’emplois pour les jeunes ? plus de croissance ? plus d’abondance dans les magasins ? plus de pouvoir d’achat pour les ménages ? Ceux qui veulent voir le CFA disparaître sont incapables de se prononcer sur ces questions. Pourtant l’enjeu se situe bien à ce niveau.

Sur les 55 pays que comptent l’Union africaine, seuls 15 utilisent le CFA. Une quarantaine de pays sont en dehors de cette zone. Sont-ils pour autant émergents ? Sont-ils mieux géré sur le plan monétaire ? Dans ces pays, le dollar américain concurrence la monnaie locale, car la population n’a aucune confiance en elle, à commencer par le Nigéria la première économie africaine. En dehors de la zone CFA, les pays africains commercent entre eux en dollars, preuve que les monnaies africaines n’inspirent aucune confiance entre africains, malgré les discours qu’on peut entendre sur l’intégration du continent.

Durant la période 1999-2011, la Côte d’Ivoire a traversé de violents orages. Son économie ne s’est pas effondrée, en partie parce que la valeur de la monnaie est restée constante. La parité fixe CFA/Euro a permis de maintenir le pouvoir d’achat de la population, la misère et la pauvreté qui accompagnent toujours les conflits intérieurs (du fait de la perte de valeur de la monnaie locale), ont été ainsi évitées. Le CFA a été un bouclier pour les Ivoiriens, mais ils n’en ont pas eu conscience. Au Mali et en Centrafrique en ce moment, en dépit des troubles intérieurs, l’économie ne s’ effondre pas du fait de la valeur constante de la monnaie que ces pays utilisent, le CFA.  Par contre en Ethiopie, si la guerre perdure au Tigrée, la monnaie locale va s’affaiblir, ce qui va conduire à une hausse incontrôlée des prix.

En zone CFA l’inflation ( hausse des prix ) existe mais est sans commune mesure avec celle qu’on rencontre dans certains pays africains, où les monnaies subissent des fluctuations que les économistes appellent « la danse des prix » , ce qui crée des pénuries en tout genre. Ce sont des phénomènes  inconnus en zone CFA.

Le CFA est la seule monnaie africaine qui est acceptée par certains bailleurs de fonds internationaux, notamment des pays de l’UE ( pas tous certes ), et la Chine ( le Congo Brazzaville règle une partie de sa dette vis à vis de ce pays en CFA). Cela permet aux pays de la zone CFA d’économiser leurs réserves de change. Ainsi le CFA est devenu une monnaie refuge, une quasi-devise en Afrique, certaines banques centrales le stockent dans leurs réserves sans vraiment l’avouer.

Après son premier emprunt post-covid en Décembre 2020 d’un milliard d’euro, La Côte d’Ivoire compte lancer son prochain emprunt international en CFA, et donc rembourser en CFA. C’est dire la crédibilité du CFA à l’international. Aucune autre monnaie africaine ne peut être acceptée sur les marchés internationaux, pas même le Rand sud-africain.

Sur le marché monétaire de l’UEMOA, quelque 1 500 milliards de francs CFA sont levés chaque année en moyenne depuis 2015. Ce marché sous-régional est possible grâce au CFA.  Les Etats en zone CFA sont contraints à la discipline monétaire. Ils ne peuvent pas tricher en faisant  » imprimer de la monnaie’’ pour financer leurs dépenses. Ainsi la quantité de CFA en circulation est toujours proportionnelle au PIB réel de ces pays.

Les détracteurs du CFA sont totalement dans l’idéologie, et refusent de prendre en compte tous ces aspects. Où peut-être qu’ils les ignorent  tout simplement.

Les véritables questions à résoudre sont ailleurs

Les économies africaines sont soumises à des dysfonctionnements profonds connus de tous, et qui ne sont en rien liés au CFA.

1-    Des administrations publiques pléthoriques avec des milliers de fonctionnaires fictifs et une masse salariale hors de contrôle

2-    Des pans entiers de l’économie qui échappent à l’impôt

3- Des entreprises publiques gangrenées par la corruption et maintenus artificiellement en vie à coûts de subventions onéreuses

4-   Des emprunts extérieurs qui se volatilisent dans la poche des uns et des autres mais qu’il faut rembourser

5-    Les dérapages budgétaires dans les grands projets d’infrastructures

6-    Les audits sans suite

7- La totale dépendance des Etats à un ou deux produits d’exportation etc.

La liste est longue des plaies qui minent les Etats africains. Ce n’est pas avec une nouvelle monnaie que ces plaies vont disparaître comme par enchantement. Bien au contraire, cette nouvelle monnaie sera source de désordre. Il faut s’engager dans un processus continu d’assainissement, il faut de la discipline dans la gouvernance, de la rigueur, il faut des réformes en profondeur. Adopter une monnaie commune n’aura aucun impact sur ces plaies.

On entend dire par ci par là que la monnaie unique va accélérer le commerce entre les pays membres de la CEDEAO comme ce fut le cas en Europe avec l’Euro. C’est un leurre.  Les pays européens commerçaient déjà beaucoup entre eux avant la mise en place de l’Euro. Dans un tel contexte, la mise en place de la monnaie unique accélère une dynamique déjà existante. Ce n’est pas le cas de nos pays.

La CEDEAO est généralement vu comme un marché de 350 millions d’habitants. Mais avec quel pouvoir d’achat ? 70%  des échanges de l’UEMOA se font avec l’Union européenne. Les flux intra CEDEAO existent, mais sont informels et restent de petite taille, pour la simple raison que c’est en Europe que se trouvent nos marchés d’exportation. Si le commerce intra-africain est à encourager, il ne peut dans l’état actuel de nos économies, être une source suffisante de croissance  pour nous.

Au fil des années, des pays non colonisés par la France ont intégré la zone CFA. Ce sont la Guinée équatoriale en Afrique centrale, et la Guinée-Bissau en Afrique de l’Ouest. Personne n’a mis de couteau sous la gorge des dirigeants de ces pays. De même, certains pays francophones qui avaient quitté la zone comme le Mali et le Togo, y sont retournés.  Ces pays se sont rendus compte que le CFA était le mieux adapté pour eux.

Le CFA n’est pas une monnaie forte qui pénalise les exportations de nos pays comme certains veulent le faire croire. Un CFA vaut  non pas 1 euro, mais 0, 0015 euro.  D’ autre part nous n’exportons pas des produits industriels, mais des matières premières qui ne supportent pas de concurrence en tant que telle. Leurs prix se déterminent selon l’offre et la demande. Le CFA n’intervient pas dans ces échanges, facturés en dollar.

Enfin il ne faut pas perdre de vue la confrontation entre les Etats dans la gouvernance de la monnaie unique si elle voit vraiment le jour.  Le PIB du Nigéria pèse trois fois celui des autres Etats ouest africains réunis. Ainsi que  l’Euro s’est inscrit dans la continuité du Mark allemand du fait du poids économique de l’Allemagne vis-à-vis de ses partenaires, la monnaie unique va inévitablement s’inscrire dans la continuité du naira. La banque centrale aura son siège à Abuja, et la politique monétaire sera menée par le Nigéria, les autres Etats devront s’aligner. Ce sera une question de rapport de force.

Ainsi les Etats de la zone CFA vont quitter le ‘’parapluie français’’  pour se mettre sous le ‘’parapluie nigérian’’. Bonne nouvelle ? Pas si sûr.  Le naira est très volatile.  Le remplacement du CFA par un « naira déguisé »  serait une catastrophe pour les Etats francophones. Des émeutes ne sont pas à exclure dans ces pays face aux pénuries et à la volatilité des prix qui verront le jour inévitablement.

Mais nous n’en sommes pas encore là. Avec les bouleversements dus au coronavirus, la mise en place de cette monnaie unique , l’éco, a été repoussée à 2027.

Douglas Mountain 

 

Checknews

Le franc CFA est-il un impôt colonial ?

Alors qu’Emmanuel Macron et Alassane Ouattara ont annoncé la réforme du franc CFA, une série de tweets dénonce un «impôt colonial» de la France.

En visite en Côte-d’Ivoire, Emmanuel Macron a annoncé samedi, au côté de son homologue, Alassane Ouattara, la fin du Franc CFA. Une nouvelle monnaie, probablement appelée «eco», devrait voir le jour en 2020 dans les huit pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) utilisant aujourd’hui le franc CFA : il s’agit du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte-d’Ivoire, de la Guinée-Bissau, du Mali, du Niger, du Sénégal et du Togo. Pour l’instant, les six pays d’Afrique centrale utilisant le franc CFA mais formant une zone monétaire distincte (la Cemac) ne sont pas concernés. Au total, quatorze pays et les Comores ont le franc CFA.

En réaction à cette annonce, une série de tweets est devenue virale. Son auteure y dénonce un «impôt colonial» que paieraient les Etats à la France par le biais du franc CFA.

Elle explique que ces quatorze pays sont obligés de déposer 85% de leurs réserves au Trésor français, ce qui ne leur laisserait que 15% de liquidités et les obligerait à s’endetter auprès de la France.

CheckNews a déjà répondu à plusieurs reprises à ces questions. L’idée d’un «impôt colonial» payé par ces pays d’Afrique à la France est en fait une intox qui remonte à 2014 : elle repose sur une confusion concernant le fonctionnement du franc CFA.

En effet, comme l’explique la Banque de France, le franc CFA repose sur trois principes fondateurs, dont la garantie de convertibilité illimitée par le Trésor français. Celui-ci prévoit que, en contrepartie du fait que la convertibilité des monnaies de chaque pays soit garantie par le Trésor, chaque pays membre doit centraliser ses réserves. Ainsi, 50% des réserves de change la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et de la Banque centrale des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) doivent être déposées auprès du Trésor français. Ce taux était, jusqu’en 2005 pour la BCAO et jusqu’en 2009 pour la BEAC, de 65%.

Ainsi, ces deux banques centrales «disposaient en 2005 de plus de 3 600 milliards de francs CFA auprès du Trésor français», expliquait le Monde en 2015. Soit un stock d’environ 72 milliards d’euros.

Fin de la centralisation obligatoire de 50% des réserves de change en France

Il ne s’agit donc pas d’un impôt versé par les pays africains à la France, mais d’un dépôt, dont les intérêts leur sont reversés. Comme l’expliquait au Monde l’économiste Kako Nubukpo, ancien ministre togolais de la Prospective, par ailleurs très critique du modèle du franc CFA, «rien n’empêche les pays concernés d’en faire usage pour accompagner leur croissance». Ce que confirme, dans un débat sur RFI, Ahmadou Al Aminou Lo, directeur national de la BCEAO au Sénégal en 2018. Surtout, cette mesure est censée être supprimée dans la réforme du franc CFA annoncée ce week-end.

En effet, outre le changement de nom, la réforme prévoit «l’arrêt de la centralisation de 50% des réserves» des pays concernés au Trésor français et le retrait de la France des «instances de gouvernance dans lesquelles elle était présente». En revanche, la parité fixe avec l’euro du franc CFA est maintenue (1 euro = 655,96 francs CFA), mais ce point est appelé à évoluer.

Ce qu’avait d’ailleurs annoncé le président béninois Patrice Talon en novembre dernier sur RFI. Le ministre de l’Economie avait ensuite expliqué : «Il est connu de tous qu’une partie des réserves de change de la zone UEMOA est déposée auprès du Trésor français pour garantir la convertibilité de notre devise. Ce que le chef de l’Etat a dit, c’est que si cette réforme, qui est aujourd’hui souhaitée de tous et sur laquelle on est d’accord pour avancer, arrivait à terme, elle permettrait à la Banque centrale de placer ses réserves partout, auprès d’institutions financières, que ce soit en Europe, en Asie ou aux Etats-Unis.»

Reste que le système du franc CFA est très critiqué. Carlos Lopes, économiste bissau-guinéen et secrétaire exécutif de la commission de l’ONU pour l’Afrique, jugeait par exemple en 2016 qu’il y a quelque chose «qui cloche avec le franc CFA» : «Aucun pays au monde ne peut avoir une politique monétaire immuable depuis soixante et onze ans.» Même constat pour Nubukpo, l’économiste togolais, pour qui «la parité fixe entre le franc CFA et l’euro» pénalise fortement le développement économique des pays concernés. Outre les récriminations d’ordre économique, l’ancien ministre se montre tout aussi critique sur l’existence même de la monnaie : «La question de la souveraineté qui sous-tend ce débat est plus que légitime. Car il est inconcevable que cinquante-cinq ans après les indépendances, les pays de la zone franc continuent d’avoir une monnaie physiquement fabriquée en France, d’avoir leurs réserves de change déposées auprès du Trésor public français.»

Ainsi, en annonçant cette réforme, Emmanuel Macron a reconnu : «La question du franc CFA cristallise de nombreux débats et de nombreuses critiques sur le rôle supposé de la France en Afrique […] J’ai entendu les critiques faites à la France […] Je vois votre jeunesse qui nous reproche une relation économique et monétaire qu’elle juge post-coloniale […] Donc rompons les amarres.»

Publié le 24 décembre 2019 à 7h01 par Libération

 

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